Quand Fireworld (Edouard Lamoine) se plaint auprès de Google…

Avant propos : La lecture de l’article Comment être certain que mon fils est gay ? ou l’homophobie d’un vendeur de logiciels espion est un pré-requis afin de comprendre à minima ce billet, il s’agit en quelque-sorte d’un second épisode de la série.


Voilà que ce matin, j’ai découvert sur le site lumendatabase.org une nouvelle notification concernant mon blog.

Nous avons reçu des nouvelles de notre “ami” Edouard et, visiblement, il n’a pas l’air très content :

Bon, alors déjà, le guignol parle de messages anciens (ouais, tu parles, des messages de la veille) et fallacieux (alors que de nombreux éléments le désignent comme lié à cette boîte homophobe merdique qu’est Fireworld).

Le voila donc qu’il chouine auprès de Gougleuh afin d’obtenir le déréférencement de l’article qui le chagrine tant (pauvre petit chou).

Les trois premières URL censurées par le terme “REDACTED” sont les mots-clés suivants :

Comme par “hasard”, notre “ami” Edouard, en se baladant sur “Gougleuh” et “Twitheure”, repère de vilains messages “diffamatoires” et très négatifs (le pauvre bichon !) le concernant, ayant été repris sur le réseau social en question.
Vilain, vilain !

  • Point droit :

Concernant la diffamation :

Le site service-public.fr nous offre une définition de la diffamation, vu qu’Edouard Lamoine/Fireworld prétend être victime de cette infraction, lisons ensemble cela :

La diffamation est une fausse accusation qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne.

J’aimerai bien savoir qu’elle est la fausse accusation dans l’article Comment être certain que mon fils est gay ? vu que tous les propos sont sourcés et/ou screenés.

Une diffamation est une allégation ou imputation (accusation) d’un fait non avéré qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne. C’est-à-dire que l’auteur des propos accuse sa victime d’avoir commis tel ou tel fait précis.

Rien de précis, Edouard Lamoine ayant rédigé un petit torchon de deux lignes à Gougleuh en ne citant aucun propos de l’article.

Le fait en question peut faire l’objet, sans difficultés, d’une vérification et d’un débat contradictoire.

Un débat contradictoire ? Avec grand plaisir.

Les preuves doivent être parfaites, complètes et liées aux accusations émises. Elles doivent bien prouver que ses propos sont réels et que le fait concerné a été commis.

Avis à notre clown Edouard donc…

Sur le fond : Concernant la gestion de la société Fireworld, de nombreux éléments (objectifs & publics) pointent vers Edouard Lamoine.

  • Comment Edouard Lamoine peut expliquer que son nom & prénom (ainsi que son numéro & adresse) apparaîssent dans le WhoIs du site fireworld.fr ?

  • Comment Edouard Lamoine peut expliquer que son prénom apparaîsse dans plusieurs screens issus des tutoriaux vidéos de Fireworld ?

  • Si Edouard Lamoine est totalement étranger à Fireworld, comment est-il possible qu’il découvre “par hasard” (selon ses dires) que l’on parle de lui sur ce blog, Twitter ou tout un tas d’autres sites d’actualités (plus de dix articles à ce jour).

 

Il n’est pas nécessaire de lui rappeler qu’il existe en France un principe immuable, la liberté de la presse et d’expression, et des lois condamnant l’homophobie et l’espionnage numérique.

Pourquoi ne pas avoir contacté l’administrateur du site en question afin de faire supprimer le contenu ? ou mieux, pourquoi ne pas avoir assigné (au pénal ou au civil) devant le tribunal pour ces mêmes motifs ? ou demander un droit de réponse.

En fait, Edouard Lamoine/Fireworld a fait exactement comme Magnificia Investissement/Legendre Patrimoine : a défaut de s’attaquer sur le fond (que dire face à certains éléments avérés), ils contactent directement Google.

Enfin, cher Fireworld/Edouard Lamoine, si tu te sens diffamé par l’article Comment être certain que mon fils est gay ? ou l’homophobie d’un vendeur de logiciels espion, attaque-donc le site en diffamation.
Nous pourrons ainsi nous retrouver face à face devant la 17ème chambre correctionnelle du tribunal de Paris.

A bonne entendeur, mon gros rageux fragile, plein de bisous super gays.

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