Quatrième et dernier jour au 34c3 à Leipzig, première conférence sur la recherche et le suivi des capacités de surveillance du gouvernement italien au moyen d’outils de transparence en utilisant la disponibilité des ensembles de données sur les marchés publics, requis par les lois anti-corruption, pour découvrir les capacités de surveillance du gouvernement en Italie.
Italy’s surveillance toolbox : Quelques images :
Chantal Connasse @ChantalConnasse
Ça cause #HackingTeam en salle Dijkstra. #31c3 :
Chantal Connasse @ChantalConnasse
Seconde conférence sur Briar “Resilient P2P Messaging for Everyone” : une nouvelle messagerie chiffrée sur smartphone en peer-to-peer :
Briar est une application de messagerie peer-to-peer qui résiste à la censure et fonctionne même sans accès à Internet. L’application chiffre toutes les données de bout en bout et masque également les métadonnées en utilisant les services d’oignon de Tor.
Dans le monde entier, la communication est de plus en plus surveillée et restreinte. Si la communication ne peut pas être écoutée, elle est souvent complètement bloquée.
Nous devons développer des outils plus résilients face à ces menaces. La communication et l’expression doivent être libres. La censure ne devrait pas être possible. Même si Internet était totalement bloqué (CF en Iran ces dernires heures), les gens devraient être capables de communiquer.
Quelques images :
Troisième conférence sur un référendum à propos de la surveillance aux Pays-Bas :
Les agences de renseignement néérlandaises seront bientôt autorisées à analyser massivement les données de masse de civils, en interceptant le trafic internet et en accédant en temps réel à toutes sortes de bases de données.
“Fuck Dutch mass-surveillance : let’s have a referendum ! Forcing the Netherlands to publicly debate privacy and the intelligence agencies”.
Quelques images :
Enfin, dernière conférence sur l’internet à Cuba :
L’accès à Internet à Cuba est notoirement restrictif. ETECSA, le FAI géré par le gouvernement, offre 60 hotspots sans fil dans les parcs et les hôtels, permettant aux étrangers et aux citoyens de “visiter” Internet pour seulement 1 $ de l’heure, c’est ce que la plupart des touristes connaissent d’Internet à Cuba.
Dans cet exposé, nous examinerons de plus près la vie des hackers cubains et nous visiterons un ensemble dynamique de réseaux communautaires que les touristes ordinaires ne voient jamais. L’histoire qui émerge est une vision inspirante de ce que les communautés peuvent (et ne peuvent pas) accomplir face à l’adversité.
Quelques images :
Pour conclure, quelques images du dernier jour au 34c3 :